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- Volatiles, prêts à changer de job comme on change de lessive... Considérant les candidats comme des consommateurs d'emploi, de nombreux DRH dupliquent les codes de la grande distribution pour les attirer. A tort, affirme une étude menée par Neoma Business School. "C'est la guerre des talents". Depuis 8 à 10 ans, les DRH n'ont que ces mots-là à la bouche, souvent suivis de celui d'"employabilité", déplore Jean Pralong, responsable de la chaire "nouvelles carrières" de Neoma Business School et co-auteur d'une étude sur la marque employeur. "Ils peaufinent donc cette marque dans un double objectif : capter et fidéliser les meilleurs candidats et influencer, voire contrôler, la perception que de potentiels salariés ont de l'entreprise, la réputation de cette dernière se jouant désormais sur le web et les réseaux sociaux. Il faut donc séduire, promettre, quitte à vendre du rêve." Dans le top 5 des priorités stratégiques des DRH pour 2016, la marque employeur se place au 3ème rang, après la gestion des relations sociales et le développement des compétences, mais avant la digitalisation ou le recrutement, rappelle le document. Un préjugé tenace, le candidat shoppeur Le fait serait acquis. Les salariés auxquels on serine depuis des années qu'il n'y a plus d'emploi à vie, qu'il est vital de se remettre en question, qu'il leur faut prendre leur destin en main, et qu'ils peuvent transformer une rupture en opportunité, auraient une vision court-termiste de l'emploi, analyse l'étude. Tels des consommateurs derrière des linéaires en grande surface, ils choisiraient un job comme une boite de petits-pois, sans y attacher trop d'importance. Avec le seul souci de mettre en concurrence les offres d'emploi, afin d'optimiser leur investissement (temps, énergie). Les biens étant interchangeables et remplaçables, l'enjeu serait faible, et l'engagement aussi. Un engagement qui, de plus, serait provisoire, le temps de d'apprendre le maximum de choses à son poste avant de remettre son cv en ligne. Du coup, dans la construction de la marque employeur, les DRH dupliquent les codes de la grande distribution, observent les chercheurs: segmentation des cibles, contenu cohérent avec la stratégie de communication, multiplication des contacts entre la marque et son public (forum de recrutement, relations écoles, réseaux de diplômés, réseaux de diplômés, etc.). Une réalité, le candidat chineur Toutefois à y regarder de près, ces dirigeants auraient quasi tout faux. Le travail mené par Neoma Business School, en mars 2015, prouve que les candidats ont des attentes très élevées envers l'entreprise. Les chercheurs ont en effet présenté 6 annonces fictives à 752 cadres, mentionnant des tailles de structure, des types de produits et des pratiques de gestion de carrières diversifiés. L'idée? En mesurer l'attractivité. Surprise: invités à décrire leur ressenti, les répondants y ont pointé à chaque fois les six critères qui relèvent des codes de marque de luxe, que le la société soit ou non sur du haut de gamme : élitisme, distinction, renommée, qualité, hédonisme, créativité. "L'employeur est donc perçu comme un bien précieux, complexe, impliquant, analyse Jean Pralong. A l'image d'un client qui achète un sac ou un vêtement griffé, le candidat vise le long terme, l'attachement durable. L'identification est plus forte avec le produit (l'employeur), l'engagement aussi." Plus la marque employeur est assimilée à une marque de luxe, plus elle attire de candidats. Avec, pour eux, une exigence de qualité et de solidité qui demeure. Un nécessaire ajustement RH Dans ce contexte, pas étonnant que les DRH se plaignent qu'ils obtiennent de moins en moins de réponses à leurs annonces. L'étude OpinionWay de 2014, montre qu'à la lecture d'une offre, "38%" des candidats sont distants et 22% sont "méfiants". Le hiatus est de taille, puisque les candidats n'y trouvent pas ce qu'ils cherchent. Ils ont envie de lire une description précise de ce qu'ils vont faire et non pas du flou - "participer à la croissance de..." -, de sentir une implication, une gestion attentive des carrières (les PME ont intérêt à valoriser ce point) et non pas un esprit de compétition agressif - "un environnement challengeant" -, précise Jean Pralong. Enfin, ils savent détecter une authenticité dans les messages. "Mentir, c'est pire que tout, affirme l'expert. Quand un cabinet d'audit affiche des "carrières à long terme" alors que dans ces métiers le turn-over est élevé, et que la progression y est pyramidale", le postulant n'y croit pas. Les recruteurs ont intérêt à saisir que les mutations du travail, où cohabitent "les espoirs de promotion rapide et de revenus élevés avec la crainte du chômage et du déclassement, n'ont provoqué ni désengagement, ni mercenarisation". D'ailleurs, plusieurs enquêtes ont montré que les salariés qui réussissent une jolie carrière sont ceux qui restent durablement en entreprise et non pas ceux qui zappent. ...
- Entretien en face à face ou en présence de plusieurs recruteurs, tenue vestimentaire, langage… Les entretiens d’embauche peuvent être intimidants. C’est pourquoi ils doivent être préparés en amont. Voici nos conseils pour réussir au mieux le jour J. Ne laissez rien au hasard Lors d'un entretien, il est très important de paraître professionnel. Il faut donc que votre tenue vestimentaire et vos gestes soient en accord avec l’image que vous souhaitez renvoyer. Vous aurez rarement une seconde occasion de faire bonne impression. Si vous êtes un homme, nous vous conseillons de privilégier le costume. Vos chaussures, vos ongles et votre coiffure doivent être impeccables. Vous n’imaginez pas à quel point la première impression est importante. On dit même que les recruteurs se font une image d’un candidat dans les 8 premières secondes de la rencontre. Anticipez l'entretien Mieux vous êtes préparé à cet exercice, plus vous serez à l'aise et détendu. Si vous n’avez pas anticipé l’entretien, cela se verra à votre langage corporel et votre ton de voix, mais aussi lorsque vous répondrez aux questions du recruteur. Avant l'entretien, il est judicieux de rassembler les informations sur l'entreprise et essayer de faire correspondre votre expérience aux exigences du poste pour lequel vous candidatez. Voici quelques conseils : • Entraînez-vous. Sollicitez l'aide d'un ami ou d’un proche et demandez-lui de vous poser les questions type (décrivez votre parcours, pourquoi le poste vous intéresse ? où vous voyez-vous dans 5 ans ? etc.). Lors de cet exercice, essayez de regarder votre interlocuteur dans les yeux • Enregistrez-vous ou filmez-vous. Evitez les onomatopées de type « euh » ou « mmh » qui marquent une hésitation. Essayez de garder un langage corporel positif pour montrer que vous avez confiance en vous, même lorsque ce n'est pas le cas • Préparez à l'avance votre tenue et calculez votre itinéraire jusqu'au lieu de rendez-vous. Ainsi, vous éviterez de vous ajouter du stress. Pendant l'entretien Essayez de sourire et d’avoir une poignée de main affirmée. Entamer une conversation entre le moment où celui-ci vient vous chercher et où il vous conduit à la salle d'entretien vous permet de marquer des points. Les minutes qui précèdent l’entretien sont décisives pour faire une bonne première impression. Le langage corporel est aussi très important. Détendez-vous et ayez confiance. Nous vous conseillons de vous tenir droit, vous pencher légèrement vers l'avant et maintenir un contact visuel avec votre interlocuteur. Derniers conseils • Respirez profondément pour vous relaxer et garder votre calme • Essayez de faire en sorte que votre stress ne transparaisse pas dans votre langage corporel • Assurez-vous d'être assis dans une position confortable • Penchez-vous légèrement vers l'avant lorsque le recruteur vous pose une question, cela démontre un certain intérêt • Maintenez le contact visuel avec votre interlocuteur, regardez-le dans les yeux le plus souvent possible. ...
- Négocier, oui, mais pas n’importe comment Bon nombre de candidats sont pétrifiés au moment d’aborder la question du salaire en entretien. Rien de plus normal pourtant aux yeux du recruteur. A contrario, un candidat qui n’évoquerait pas cette question risquerait de paraître suspect ou trop docile à ses yeux. Pour autant, la négociation salariale n’est pas si simple à maîtriser. Voici quelques règles qui devraient vous permettre d’y voir plus clair. Estimez votre salaire Avant de vous lancer dans la négociation de votre salaire -et pour ne pas commettre d’impair - renseignez-vous sur le salaire habituellement pratiqué pour le type de poste que vous convoitez. Faites ensuite un point sur vos besoins au quotidien : votre nouveau salaire devra bien entendu les couvrir. Ainsi, vous saurez en dessous de quel revenu vous ne pouvez pas descendre. Surfer sur Internet reste un bon moyen pour comparer les rémunérations proposées en général dans la profession pour ce type de poste. Les magazines économiques publient aussi chaque année des grilles de rémunération moyennes. Une excellente approche est d’évoquer la question avec une personne occupant la fonction à laquelle vous postulez. L’idéal, bien entendu, serait que cette personne travaille dans l’entreprise qui propose le poste : ainsi vous sauriez exactement où vous mettez les pieds. Quelle que soit la façon dont vous procéderez, la seule chose qui importe vraiment est que vous ayez en tête, avant l’entretien, une fourchette salariale en votre faveur, bien sûr, et par ailleurs cohérente avec les pratiques de la profession. Pendant l’entretien, ne parlez jamais salaire le premier Laissez le recruteur aborder le sujet et faire la première proposition. En procédant ainsi, vous gagnez un temps précieux qui vous permet de mieux cerner votre interlocuteur et éventuellement de découvrir le prix qu’il est prêt à payer. Autre avantage : vous estimerez mieux les enjeux et responsabilités du poste et donc, le salaire qui lui est associé. Si le recruteur vous demande quel salaire vous envisagez, ne répondez jamais précisément avant d’avoir eu une vraie proposition d’embauche. Certains recruteurs fonctionnent encore de cette façon : celui qui est le moins cher obtient le poste. Vous pouvez alors vous en tirer par une galipette du style : « C’est vous qui proposez le poste, j’imagine que vous savez plus précisément que moi le salaire qu’il mérite. » Si le recruteur insiste vraiment, donnez lui une fourchette salariale plutôt qu’un salaire précis. Si vous vous êtes préalablement renseigné sur les salaires qui ont cours dans la branche, vous devriez parvenir à une proposition de salaire assez réaliste. Enfin, n’oubliez pas ce principe commercial basique : si vous laissez votre interlocuteur parler le premier, peut-être vous proposera-t-il plus que ce à quoi vous vous attendiez ! Salaire et rémunération Avant de vous emballer parce que le salaire que le recruteur vous propose vous semble trop faible, prenez bien en compte tous les éléments qui composent votre rémunération, c’est-à-dire votre salaire ainsi que d’autres avantages éventuels : primes, niveau et fréquence des augmentations, véhicule de fonction, mutuelle, particularités de la convention collective, etc. Quelques astuces pour bien négocier Ne parlez de votre dernier salaire que si vous étiez payé plus cher. Dans le cas contraire, vous vous dévalueriez en donnant l’impression d’être prêt à accepter une baisse de salaire. Si l’offre de rémunération annuelle est nettement en dessous de vos prétentions, parlez en terme de salaire mensuel. Le montant sera moins impressionnant et peut-être parviendrez-vous à vos fins. Vous pouvez éventuellement faire monter les enchères en menant l’entretien de façon brillante, en vous engageant sur des résultats chiffrés et crédibles - parce que vous les avez déjà atteints à votre poste précédent. Dans le même ordre d’idées, si vous n’arrivez pas au salaire que vous convoitez, proposez une sorte de marché au recruteur : vous acceptez un salaire plus bas que celui que vous souhaitiez, à condition qu’il soit prévu de revaloriser votre rémunération si vous obtenez des résultats supérieurs aux objectifs chiffrés. Cette approche est par exemple envisageable pour les fonctions commerciales. Rédigé par PiloteContact ...
- Lancé en 2012, Marocadres a su s'imposer dans le marché des plateformes de recrutement en ligne au Maroc, grâce notamment à un positionnement bien réfléchi et une approche personnalisée. Aujourd'hui, Marocadres entame un réel changement avec un nouveau slogan, plus représentatif de ses missions et ses valeurs. Marocadres vient de changer d'identité visuelle et porte désormais le slogan «Le Maroc a du talent !». Pourquoi ce changement et quels en sont les enjeux ? Le Maroc bouge et se développe et ses talents aussi. Nous ne pouvons pas rester en marge de ce dynamisme que connaît actuellement notre pays, sous l'impulsion et le leadership clairvoyant de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Le changement de notre image s'inscrit donc dans cet élan et le développement que connaît l'économie marocaine, en liant ainsi notre slogan et marque à l'image d'un Maroc en mouvement. Nous partons d'un constat : le capital humain marocain n'est pas suffisamment valorisé et exposé. Nous comptons ainsi porter notre pierre à l'édifice en contribuant à mettre en avant la qualité du capital humain de notre pays. Quel est la raison d'être et l'ADN de Marocadres ? La principale mission de Marocadres est de valoriser le capital humain marocain et de servir de plateforme entre les entreprises et candidats. Grâce à notre expertise et accompagnement, les entreprises ont accès à une base de données qualifié de bons candidats, leur permettant une meilleure efficacité et un gain de temps. Pour cela, nous disposons d'un outil moderne, technologique, ergonomique et à dimension humaine, sans oublier l'apport considérable de nos consultants expérimentés. Quel est votre cible et comment vous vous positionnez sur le marché de l'emploi marocain ? Nous nous adressons, d'une part, à tout candidat, en poste ou non, désireux de travailler pour une entreprise active sur le marché marocain. D'autre part, nous nous adressons également à toute entreprise désireuse de recruter du personnel pour son activité au Maroc. Notre positionnement est particulier dans le sens où nous sommes un Jobboard, un média de publication d'offres d'emploi. Et en même temps, notre accompagnement comprend systématiquement une présélection téléphonique poussée, effectuée par des consultants RH avérés. Nous nous situons donc entre un Jobboard classique et un cabinet de recrutement. Tout cela, proposé à des tarifs très attractifs pour les entreprises marocaines. ...
- Bilan satisfaisant pour la 3W Academy Maroc. Lancée fin 2018, l’académie qui s’active dans la promotion de l’emploi et le renforcement de la compétitivité des entreprises IT, a pu former 120 développeurs, dont 117 déjà opérationnels sur le marché de l’emploi. L'établissement a formé huit promotions dans le développement Web. Pour se différencier, l'académie a mis en place un dispositif de formation innovant : Coding bootcamps. Il s'agit de programmes de formations intensives et accélérées de trois à six mois qui permettent de développer simultanément et de manière efficace toutes les zones de compétence requises pour réussir dans les métiers du numérique, à savoir les compétences techniques, les soft-skills, la méthodologie et l’éthique de travail, la culture métier et la capacité d’autoformation. Par ailleurs, et dans une démarche RSE (responsabilité sociale des entreprises), la 3W Academy Maroc a organisé, en 2019, des caravanes d’orientation et d'initiation dans les universités et les écoles. Cette opération a permis à plus de 1.000 jeunes, dont 40% de femmes, de s’initier gratuitement au Coding en ligne. De même, l’institution a octroyé 4 prêts d'honneur à des étudiants issus de milieux sociaux défavorisés. ...
- Vous êtes-vous déjà demandé comment tout le monde continue d'être promu, mais vous continuez d'être laissé pour compte? Vous n'avez plus à vous demander. La bonne nouvelle est que l'ensemble du processus n'est pas aussi mystérieux qu'il le semble. Cela prend juste du temps et de l'engagement. Avant de gravir les échelons de l'entreprise, vous devez apprendre à obtenir une promotion. D'abord, les promotions ne sont pas une évidence. Très souvent, nous nous attendons à ce que si nous travaillons pour une entreprise pendant un certain temps, nous obtenions une promotion. Il est important de réaliser que vous devez créer et gérer votre propre cheminement de carrière. Et rappelez-vous qu'une promotion n'est pas toujours une voie ascendante. Comment développer un bon plan de promotion ? Nous avons compilé 8 idées clés qui vous aideraient à obtenir une promotion. Acquérir de nouvelles connaissances et compétences Il va sans dire que l'une des meilleures façons de réussir à obtenir une promotion est d'élargir vos connaissances et vos compétences dans des domaines essentiels à l'organisation. Comme la technologie et les autres forces environnementales évoluent rapidement, vous avez besoin d'un ensemble de compétences de plus en plus important, non seulement pour effectuer votre travail, mais pour bien vous vendre. Les experts suggèrent également que les employés qui veulent aller de l'avant devraient non seulement se tenir au courant des nouvelles et des événements de l'industrie, mais aussi prêter attention aux tendances et aux événements en dehors de leur domaine d'expertise. Bâtir un bon réseau Plus il y a de gens qui vous connaissent, ainsi que vos forces, vos capacités, votre valeur pour l'organisation et vos ambitions, plus votre nom sera évoqué lorsque des opportunités se présenteront. Un bon réseautage vous permet, non seulement d’être promu en interne, mais également d’être plus visible en ce qui concerne les opportunités qui se présenteront dans d’autres organisations. Demandez plus de responsabilités Se porter volontaire pour aider d'autres départements ou équipes, ou simplement demander plus de responsabilités, augmente considérablement votre valeur au sein de l'organisation. Demander plus de travail montre votre intérêt et votre désir d'aider votre entreprise à réussir. Cela permet également de mettre en valeur votre valeur pour l'organisation. Renforcer les liens avec votre supérieur hiérarchique Votre patron peut être l'un de vos meilleurs défenseurs pour une promotion. Il ou elle peut, soit vous promouvoir à votre prochain poste au sein de l'entreprise, soit vous bloquer de tout mouvement au sein de l'entreprise. Profitez de toutes les opportunités pour faire de votre patron un supporter clé de votre promotion. Demandez aussi conseil à votre manager et insistez sur votre intérêt à rester dans l'entreprise. Utilisez les évaluations de performances non seulement pour passer en revue vos réalisations, mais aussi pour parler avec votre patron des obstacles potentiels à une promotion et comment les surmonter. Certains experts suggèrent également d'établir des relations avec votre patron en apprenant davantage sur ses intérêts et passe-temps extérieurs. Quantifier les résultats Bien que les promotions ne soient pas nécessairement basées sur vos performances passées, vous pouvez certainement avoir plus de chances si vous mettez en valeur vos meilleures réalisations. Gardez une trace de tout ce que vous avez réalisé et qui a contribué à l’amélioration des résultats de l'entreprise. Rappelez à votre patron les choses que vous faites qui sont créatives et innovantes, et signalez les actes qui soulignent votre loyauté et votre engagement envers l'organisation. Garder une trace de ces informations vous aidera également à maintenir votre CV à jour. Agissez de façon professionnelle Gagnez la réputation d'être fiable, professionnel et coopératif. Agissez. Habillez-vous de manière professionnelle et soignée. Posez des questions lorsque vous ne savez pas comment faire quelque chose. Il vaut toujours mieux admettre que vous n’avez pas toutes les réponses que d’être un Monsieur je-sais-tout. Osez être différent, vous vous démarquerez du lot. Aussi, gardez une vision positive des choses, même dans des situations difficiles. Ne vous plaignez pas et ne blâmez jamais les autres quand les choses ne vont pas à votre guise. Faites-vous un nom, à la fois dans votre organisation et dans votre industrie, à travers des conférences auxquelles vous assistez ou dirigez, des articles que vous écrivez et des discours que vous prononcez. Si une situation difficile survient, assurez-vous de trouver au moins une solution avant de demander la bénédiction de votre patron pour faire face à la situation. Les résolveurs de problèmes sont promus. Les plaignants qui s'attendent à ce que le patron résolve tous leurs problèmes ne le sont pas. Créez vos propres opportunités Après avoir étudié les besoins et les défis des organisations, si vous voyez un domaine qui a été négligé, et que vous avez des compétences clés dans ce domaine, rédigez une proposition pour un nouveau poste. Même si l'entreprise ne choisit pas le nouveau poste, vous auriez au moins fait preuve d’initiative, tout en démontrant votre valeur à l'entreprise. Ces éléments peuvent jouer en votre faveur lors d’une prochaine demande de promotion. ...
- Comme le dit si bien l’adage « Abondance de biens ne nuit point ». Et si vous renégociez votre salaire ? une augmentation est toujours la bienvenue. Mais si vous n’en demandez pas, la réponse sera toujours non. Une telle requête doit être appuyée par une démarche sérieuse. La spontanéité est une chose à bannir. Dites-vous que vous avez affaire à un nouvel entretien d’embauche où vous devez le mieux vous valoriser. L’entreprise ne fait pas de charité. On ne vous augmentera que si vous le méritez. Si vous comptez aborder le sujet avec votre patron sachez que votre détermination doit être de mise. Une bonne posture, un regard soutenu, un ton correct, une énergie positive, puis ne soyez pas sur la défensive. Vous savez ce que vous valez sur le marché de travail ? Le cas échéant vous donnerez l’impression d’être totalement déconnecté, ce qui plaidera contre vous. Pareil, si l’augmentation visée est complétement irréaliste. Une augmentation de 50% et d’un coup peut diminuer de votre crédibilité auprès de votre patron. vous connaissez vos contributions au sein de l’entreprise sur le bout des doigts ? chiffres à l’appui ? Vous corrélez votre travail aux objectifs généraux de l’entreprise ? Vous avez à cœur la réussite de l’entreprise ? Oui, vous l’avez compris, et ça se résume en un mot : L’engagement. Une chose qui se ressent et qu’on ne peut simuler. Autre chose, le timing. vous venez de mener à bien un projet ? on vous reconnait du mérite ? vous êtes confiant et vous pensez avoir fait du bon boulot ? Ou bien vous-a-t-on confié de nouvelles responsabilités ? C’est bel et bien le moment pour mettre le sujet sur la table. Une discussion où la diplomatie doit primer, où votre demande est étayée par des faits vérifiables. Dites-vous bien que cette tentative n’est pas limitée à une seule entrevue. Loin d’être intempestive, elle peut exiger une continuité. Armez-vous donc de patience. Soyez persévérants et rebondissez sur l’occasion là où elle se présente. Aussi, ne vous rebiffez pas au premier non. C’est l’heure de prouver que vous êtes un bon négociateur. Si votre augmentation en argent vous est refusée, vous pouvez toujours demander des avantages en nature. Des horaires de travail flexibles ? Des jours de congés en plus ?…. À vous d’être créatif sur ce tableau. N’hésitez pas à demander les raisons qui animent ce refus. Renseignez-vous auprès de votre supérieur sur les points que vous devez améliorer ou accomplir pour avoir droit à une augmentation. Dernière chose, si vous pensez que le refus est injustifié, que vous êtes sous-payé, n’hésitez pas à postuler ailleurs. A contrario, si l’augmentation vous est accordée, n’oubliez pas de notifier cela par écrit. un courrier envoyé à votre patron où vous exprimez votre satisfaction suite à votre augmentation, justifiée par votre mérite fera l’affaire. ...
- « Aide-toi et le ciel t’aidera! ». Vous l’avez compris, il ne suffit pas de croire à sa bonne étoile. Votre carrière professionnelle ne décollera pas de son seul gré. Il faut y mettre son cœur. La passion est motrice, cela s’entend, mais ne soyez pas limité. En trois mots: Aller au-delà. il est de notoriété publique que l’on vit dans un monde où la concurrence bat son plein. Se démarquer n’est pas chose aisée. La créativité est chose voulue. Mais seuls ceux qui s’adaptent perdurent. Apprenez que votre carrière est l’apanage d’un apprentissage constant. Le monde va vite, s’accrocher et sans tarder au train du savoir est primordiale. Râtez-le, et vous ne serez plus là pour essuyer les conséquences. Au mieux serez-vous au placard. Expression usée dans le milieu des entreprises et qui ne veut dire autre chose que: Vous êtes catalogué, à l’abri des regards freiné dans l’avancement de votre carrière. Passez maître dans votre domaine. Formez-vous! Balisez votre parcours de diplômes et brillez sans peine aux yeux de votre hiérarchie. Vous n’avez pas le temps? Le net pleut des formations en ligne. Au pire, soyez autodidacte! Dévorez les livres et les informations qui courent. Faites-le savoir sur le terrain. Il est évident qu’il serait plus approprié de prioriser une qualification que recherche votre entreprise. Pour cela, soyez à l’écoute! Soyez engagé! Deuxième chose à mettre dans son sac, défiez-vous! Que les responsabilités ne vous refroidissent pas. Osez prendre à votre charge un travail qualifié de difficile, ou une position hasardeuse. Ayez confiance! Mais avec mesure. Oui, mesure. Non vous n’êtes pas monsieur-madame-je-sais-tout, d’ailleurs l’une des composantes qui favorise une progression tranchée est le fameux « je ne sais pas ». N’ayez pas honte, demandez! Profitez des compétences qui vous entourent. Soyez humble. Troisième chose, mêlez-vous de ce qui ne vous regarde pas! Alors dit comme ça, on reste dans le flou mais concrètement : soyez généreux, accepter de faire le travail des autres, même si cela n’est pas de votre ressort. Sortez de votre confort, amplifiez votre savoir-faire. Ou du moins ne refusez pas l’aide d’un collègue si jamais ce dernier est en difficulté. Quatrième chose: Soyez léger! Si une proposition intéressante pointe à l’horizon ne la ratez pas. Exemple, une expérience de taille dans une entreprise étrangère, un poste plus enrichissant dans une autre boite. Encore une fois, sortez de votre zone de confort. Cinquième chose, soyez à l’écoute de votre hiérarchie. Il va de soi que les objectifs généraux de l’entreprise à laquelle vous êtes dévouée sont tracés par celle-ci. Versez dedans! Alignez votre formation avec celle de votre entreprise. Aussi acceptez sa critique. Il est des critiques constructives qui valent mille fois un éloge. Dernier point, soyez à l’image du poste auquel vous aspirez. L’aspect et le geste vont ensemble. Soyez présentable, sobre dans votre démarche. Évitez les commérages avec vos collègues, et tenez-vous à la neutralité. Travaillez votre intelligence émotionnelle, et n’oubliez pas de faire preuve de professionnalisme. Bon vent! ...